Antoinette Faragallah est une céramiste californienne.
Elle puise son inspiration dans le monde maritime et aime particulièrement travailler avec de l’argile texturé. Elle utilise des glaçures et des oxydes aux reflets à la fois minéraux et métalliques.
Elle a commencé à étudier dans un atelier de céramique local en 2004, en ajoutant des pièces faites à la main sur des objets altérés. Lorsqu’elle termine une sculpture, elle aime apercevoir l’argile à travers la glaçure.
« Je suis le plus à l’aise lorsque mes mains sont occupées. Quand je travaille l’argile, mon subconscient prend le dessus et mon esprit créatif se met en œuvre.
Je pense que les choses avec lesquelles vous entrez en contact, qui vous émeuvent ou qui vous plaisent transparaissent naturellement et librement dans l’argile. »
Il y a dix ans, sa rencontre avec le céramiste Stan Bitters la pousse à développer sa vocation pour le travail de l’argile.
Elle puise également son inspiration dans le travail de Hans Coper et Lucie Rie, mais aussi dans le travail du métal de Harry Bertoia.